Georges Renaud


« (...) l'homme complet, harmonique, doit être athlète autant qu'artiste. Et puisque le vélocipède y aide, vive le vélocipède.
Sans fausse vergogne, je le crie, dussent en crever de rire les ventrus assis sur des couronnes en caoutchouc, les ankylosés de cabinet, les anémiques confits dans l'air confiné, les lamentables sédentaires au front d'hydrocéphale et au cul de plomb. »


Georges Renaud, de l'Académie Française, 1891, cité par Jean Bobet dans Cyclisme de plaisance

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