Alcide Bouzigues, apothicaire de son état, écrivait dans son ouvrage Voyage fantastique en bicyclette de Paris à Lannemezan à la fin du 19e siècle : « Je n'aurais pu sans danger pour ma santé me confiner perpétuellement dans le doux farniente d'une officine de Paris, et c'est ainsi que, voyant un beau jour à ma disposition les merveilles de l'industrie, je n'ai pas hésité à me servir des ailes qu'elle a su façonner et qui m'ont rendu le frère d'un oiseau. Vous devinez qu'il est question du vélocipède... ».
Alcide, quand on pédale, on pense à toi.